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lundi 26 janvier 2015

ALLEZ GRECE, SOIS GAIE ET MANGE TON ŒUF AU RIZ.

Vous avez entendu ? Ce dimanche, les grecs ont voté. A la télé, dans les journaux, à la radio ou sur internet, le même titre s'étalait : La Grèce est passée à gauche. 
La belle affaire ; comme si cela allait changer quelque chose. Les grecs ont voté la seule voie qu'on leur a laissé. "L'alternative, c'est pas malin" chantait François Béranger, il y a 40 ans. 
    -   "Hé, François, tu es toujours d'actualité." 
Question : comment la Grèce en est arrivée là ? Qui l'a poussée ? Qui est responsable de son sort ? (Je ne dis que ces 3 questions mais, il y en tellement qui me viennent à l'esprit!) 
(à gauche, le drapeau grec)

Il y a une chose que je ne comprends pas : l'Europe. 

On nous dit que l'Europe (des 6) est faite depuis presque 70 ans. Nous avons un drapeau inspiré du traditionnel catholique : bleu avec 12 étoiles jaunes en cercle. (Je ne veux pas relancer un autre débat) Nous avons une monnaie commune depuis 2002. Nous pouvons circuler, presque sans papiers, d'un pays à l'autre, si on reste en Europe. Etc.

J'en conclus qu'il n'y a qu'un pays : l'Europe ! 

Bien ! Maintenant, on apprend que la Grèce est acculée à rembourser une dette aux autres pays et, ce qui me surprend le plus, elle doit payer des intérêts aux pays qui font partie de son pays : l'Europe. 
Je ne comprends pas. Il y a UNE Europe ou des tas de pays qui se cachent dans la famille ? 

Comprenez-moi bien. Je vis en France. L'Alsace fait partie de la France. La Champagne fait aussi partie de la France. Tout se passe très bien. Chacun vit heureux dans sa contrée. Il n'y a pas d'histoire de remboursement de prêts ou d’intérêts sur prêts : c'est la France et la France est UN seul pays.  Je me souviens, le Franc avait la même valeur dans le Gard, en Ardèche, dans le Nord ou à Paris. 
Il n'y avait qu'UNE FRANCE. C'est pareil pour l'Euro, il me semble. Et ça devrait être pareil pour l'Europe, non ? 
J'en conclus que l'Europe n'existe pas
C'est une façade, voilà ! Je ne sais pas pourquoi, je ne sais pas pour qui. Mais, c'est sans doute pour cela que, dès qu'il s'agit de régler un problème majeur, c'est (et là encore, je devrais dire ce sont mais, c'est encore un autre débat) les États Unis d'Amérique qui sont obligés de prendre les rennes. 
Alors quoi ? Nous sommes dans le même bateau ou pas ? Donc, il n'y a pas de pays riche ou de pays pauvre ; il y a l'Europe. Ou pas ! Dans ce cas, il serait judicieux de profiter du cas pour La faire, l'Europe. Une vraie Europe, solide comme UNE famille. Unie comme UN pays. 
Mais, peut-être, je ne sais pas tout.

Mes amis ou associés ou partenaires, ou... je ne sais plus : avidoxe, dan&dina, écrirepastel que vous avez le droit de consulter ; nous ne sommes pas encore fâchés. En tous cas, ils ne me doivent rien. Il y a intérêt à que cela continue ainsi ! (humour, bien sûr)

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