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dimanche 19 juin 2011

PASSE LE BAC ... POUR VOIR DE L'AUTRE COTE s'il y a une route qui...


Savez-vous que le mot BACCALAURÉAT vient de BACCA LAUREA ? C'est à dire BAIE DE LAURIERS ; la même couronne de lauriers que porte Jules César dans Astérix et qui, dans l’ancienne Rome, servait à consacrer les guerriers valeureux.

Ensuite, au Moyen Age, la couronne de lauriers servait à consacrer les docteurs en médecine qui avaient réussi le diplôme.

Aujourd'hui, ce n'est pas un combat, mais presque, pour obtenir le diplôme appelé baccalauréat. Il n'y a plus les honneurs applaudis par la foule, mais presque. On ne sort pas docteur non plus, mais presque car, si on n'a pas ce fameux diplôme toutes les voies qui permettent d'aller plus haut sont bouchées.

Alors : passe le BAC, après on verra... si tu peux t'attaquer au doctorat !

En image, un bac à sable : pour acheter ce BAC il faut de l'argent. Pour avoir de l'argent il faut avoir le BAC. Le bac est carré et on tourne en rond. Et si on commençait par la philosophie ?

lundi 13 juin 2011

PENTECOTE - JOUR DE SOLIDARITE - ESPRIT PAS SAIN

J'ai écouté télé-matin sur France2, et aux infos, ils ont dit qu'un grand constructeur va fermer 3 usines, dont 2 en France, pour 2014, et qu'il va y avoir 10.000 chômeurs de plus.


Nathalie Arthaud, dans "les 4 vérités" a confirmé l'information et a ajouté que, aux ouvriers qui se retrouveront sans travail, seront aussi touchés, les sous-traitants qui fermeront, ce qui créera d'autres chômeurs alors que cette SA (SA veut dire : société anonyme) a fait, en 2010, 1 milliard d'euros de bénéfice. Par ailleurs, les industriels ferment pour délocaliser vers des pays low cost, pas parce qu'il ne vendent pas !!! Le travail s'envole vers d'autres horizons.

Juste après la météo qui nous annonce des intempéries et des orages, aux infos, le présentateur nous parle de la journée de solidarité. Il nous montre même une image de Jean-Pierre Raffarin, l'inventeur de la journée "qu'on ne sait pas comment ne pas la prendre pour participer à la création d'un pécule qu'on ne sait pas les chemins qu'il prend pour aller là ou on nous fait croire qu'il va !" Et ce monsieur, récidive en disant qu'il faudrait imposer les travailleurs d'une 2ème journée supplémentaire !

Je relie les 2 informations et je reçois : 10.000 ouvriers au chômage, cela fait 10.000 journées de solidarité en moins. C'est pas très solidaire, messieurs les partageurs de profit ! Et, les profiteurs de partage, c'est qui ? Toujours les très riches ? Et les inventeurs d'impôts déguisés, ils participent de combien ?

Toujours d'après Nathalie Arthaud, il parait que le grand actionnaire gagne 9.000,00 Euros par jour. Tiens donc ! Une seule de ses journées, qui ne lui manquerait pas, cela fait combien de journées de solidarité d'ouvriers ? Et je ne crois pas que les revenus du capital participent à la "journée de solidarité" puisque ce sont "les travailleurs" qui sont encore et toujours visés.

Mais peut-être que je me trompe ! A mon niveau, on pense avec les données qu'on a.


PS : en y réfléchissant, aux autres niveaux aussi.
De plus, voir l'article du 24 mai de mon ami Eric Valloni. http://www.ericvalloni.blogspot.com/

pour terminer, je joins la dernière recommandation de "comment balayer devant chez soi" pour éviter de râler sur les saletés que font les autres ; c'est bien, BERNANOS qui a dit : "Les autres, hélas, c'est nous." Non ?

dimanche 5 juin 2011

DE TENNIS A BADMINGTON - POUR LE SPECTACLE


Isabelle ALONSO n’a pas dû s’en apercevoir. Ce n’était qu’un petit filet dans le journal. Sinon, elle se serait manifestée et elle aurait eu raison.

Il parait que la fédération internationale de badminton avait lancé le projet d’obliger les compétitrices au port de la jupe ou de la robe. Ce qui est déjà grave. Mais, en plus, l’article continue, les compétiteurs pourraient continuer à se vêtir comme ils veulent. Ce qui est de la discrimination, du sexisme.
D’ailleurs, il est expliqué et cité puisque dans l’article il y a (…) qui suit l’écrit : « … l’idée était de ‘toucher un public plus large parmi les jeunes et les plus âgés (…)’ pour qui la présentation esthétique et stylée est un critère important. » (La phrase qui suit (…) c’est pour faire joli. Dans le journal, la personne qui l'a prononcée, n'est pas citée.)

Alors, qu’est-ce que cela veut dire. Qu’est-ce que je comprends, tel que je le lis :

- les participantes doivent montrer leurs jambes pour aguicher les spectateurs
- les participants peuvent porter des jupettes puisqu’ils « peuvent s’habiller comme il veulent » (ce qui m’étonnerait puisque cela mènerait à une autre discrimination : les homosexuels. (il n’y a pas d’homos dans le sport – imaginez un rugbyman homo qui prend sa douche avec les autres, on préfère ignorer…)

Tout cela n’a pas de sens. Après les marques de bières, les marques de voiture, les agences de voyages, etc. qui utilisent une femme, plus ou moins nue, pour vendre leurs produits, maintenant, c’est le sport qui aguiche le client potentiel de 7 à 77 ans. Et moi qui pensais que le sport était le dernier refuge sain…
Mais, peut-être que je me trompe, je comprends mal : Isabelle ALONSO n’a rien dit là dessus. Ou alors, elle ne l’a pas appris ou est-ce un canular ?


Et je continue avec mon livret pour sauver la planète. C'est faisable, il suffit que chacun fasse un petit peu. On essaye pour voir ?